Objectifs et missions

La mise en place d’un lieu où industrie, chercheurs et laboratoires peuvent échanger sur les bonnes pratiques dans le domaine, collaborer et travailler à identifier ensemble les besoins et priorités à cibler en termes de pré-normalisation et de reconnaissance des méthodes de caractérisation et d’essais doit permettre d’accompagner le développement d’innovation plus sûres et plus durables autour des nanomatériaux sur la base de données fiabilisées et comparables.

La communauté ciblée vise aussi bien les producteurs et les utilisateurs de nanomatériaux, les fabricants d’instruments de mesure, les laboratoires prestataires de services et plateformes analytiques, ainsi que les laboratoires de recherche qu’ils soient gouvernementaux ou du secteur académique.

Structurer
Coordonner
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Structurer la communauté des nanomatériaux autour de données fiabilisées et comparables

NanoMesureFrance vise à rassembler l’ensemble des parties prenantes concernées par la thématique des nanomatériaux en focalisant les échanges autour des problématiques de caractérisation.

NanoMesureFrance se veut un point d’entrée unique pour :
Nanomesurefrance
Mettre en relation les acteurs
Coordonner les actions de pré-normalisation
Partager informations et bonnes pratiques
Jouer un rôle d’interface vers les pouvoirs publics et instances clés

« Un point d’entrée unique pour structurer une filière industrielle des nanomatériaux autour de données fiabilisées »

Mettre en relation les acteurs

L’organisation d’évènements, la mise en place de webinaires réguliers et d’une cartographie des plateformes analytiques et outils de caractérisation disponibles sur le territoire doit permettre de favoriser la rencontre entre besoins et expertises.

Coordonner les actions de pré-normalisation

La validation d’outils et de méthodes de caractérisation harmonisées sont un préalable indispensable pour produire des données dans lesquelles l’ensemble des parties prenantes peut avoir confiance. De multiples initiatives existent dans le domaine et la coordination des efforts est clé pour mettre les moyens disponibles sur les sujets prioritaires. De la même façon, les laboratoires qui déploient ces méthodologies de référence doivent pouvoir démontrer leurs aptitudes dans le domaine par le biais de mécanismes à imaginer ensemble.

Partager informations et bonnes pratiques

La thématique des nanomatériaux étant diverse, de nombreux acteurs et initiatives travaillent sur le sujet. Le partage d’information après leur « digestion » s’avère ainsi primordial pour aider les parties prenantes à investir leurs efforts au bon endroit, tout en évitant de « réinventer la roue ». La dissémination des bonnes pratiques est également clé pour que les parties prenantes les prennent en considération dans le cadre du développement de leurs produits.

Jouer un rôle d’interface vers les pouvoirs publics et instances clés du domaine

L’établissement d’un dialogue entre l’ensemble des parties prenantes sur un socle scientifique et technique consolidé doit permettre de « dépassionner » le débat autour des nanomatériaux. L’écosystème est néanmoins complexe à appréhender entre les agences gouvernementales aux niveaux français et européen, les organismes de normalisation (AFNOR, CEN, ISO, ASTM), l’ OCDE ou encore les agences de financement de la recherche.